Nous veillons constamment à ce que nos vétérinaires, nos spécialistes et nos assistants vétérinaires reçoivent une formation complémentaire. Nous lançons également des programmes de recherche et nous nous concentrons sur le développement des équipements techniques de pointe pour le diagnostic et les traitements.
Expérience, connaissance et engagement
Une part significative de nos 4 000 vétérinaires sont des spécialistes reconnus en Europe. Grâce à leur expérience et à leur expertise, ils ont aidé des millions de chiens, de chats et d’autres animaux domestiques.
Nous comprenons mieux que quiconque à quel point une mauvaise nouvelle peut être difficile à recevoir. C'est pourquoi nous veillons toujours à ce que toutes les informations médicales soient communiquées de manière compréhensible et empreinte de compassion. Nous ne pouvons pas prendre les décisions pour les propriétaires, mais nous pouvons réfléchir avec eux et leur expliquer les différentes options.
Trois organismes scientifiques pour améliorer la qualité des soins
AniCura ne s'appuie pas uniquement sur l'expertise interne. Nous collaborons avec l'ensemble des institutions : des spécialistes internationaux, des instituts de médecine vétérinaire et des universités.
Cela nous permet d’élargir constamment nos connaissances et nos compétences et nous sommes heureux de partager ces connaissances sur les derniers développements en médecine vétérinaire.
Nous améliorons non seulement la médecine vétérinaire en travaillant ensemble, mais également à travers nos trois organismes scientifiques :
- Le conseil scientifique d'AniCura.
Ce conseil est chargé de veiller à ce que les soins soient prodigués sur une base scientifique. Il est également impliqué dans l'amélioration de la qualité et la stratégie de recherche. Chaque année, il sélectionne les projets de recherche qui sont financés par le propre Fonds de recherche AniCura. - Le conseil de développement vétérinaire d'AniCura.
Il s'intéresse à la veille sectorielle, à l'éthique et aux développements stratégiques. - Les groupes d'intérêts médicaux.
Ce sont différentes équipes organisées par spécialité. Par exemple, il en existe une pour l'orthopédie et une pour les Nouveaux Animaux de Compagnie (NAC). Les équipes peuvent partager leurs connaissances au sein de ces groupes internationaux, mais les vétérinaires peuvent également s’entraider (en réfléchissant ensemble à un diagnostic complexe ou à la sélection d'un traitement adapté). L'utilisation des dernières technologies digitales facilite ces échanges. Le vétérinaire en charge reste le seul juge de la solution retenue.
Des programmes de formation ouverts
Nous croyons au pouvoir de la collaboration. De nombreux vétérinaires et assistants vétérinaires viennent chez nous pour une formation complémentaire et un échange d'expertise. En partageant nos connaissances, d'autres vétérinaires sont plus enclins à identifier certains problèmes, qu'ils peuvent ensuite traiter eux-mêmes ou nous référer.
Dans ce dernier cas, nous sommes en contact étroit avec les vétérinaires qui nous réfèrent leurs patients. De cette façon, nous avons un aperçu des antécédents médicaux et le vétérinaire référent sait ensuite exactement ce que nous avons fait pour aider l'animal.
En apprenant les uns des autres et en travaillant en réseau, nous développons la médecine vétérinaire et, ensemble, nous devenons encore meilleurs dans notre travail !
Lutter contre les bactéries résistantes et améliorer l'hygiène des soins
Les bactéries résistantes aux antibiotiques sont de plus en plus répandues dans le monde, tant chez l'homme que chez l'animal. Ces résistances bactériennes peuvent avoir des conséquences fatales lors d'infections. C’est pourquoi la vaccination, l’hygiène des soins et l’utilisation raisonnée des antibiotiques sont devenues une priorité lors des soins réalisés dans nos cliniques.
L'antibiorésistance est un sujet de préoccupation majeur et nous n'utilisons des antibiotiques que s'il n'y a pas d'autre alternative.
Nos procédures d'hygiène étant plus strictes, nous avons besoin de moins d'antibiotiques. Ainsi, nous formons tous les employés dans le domaine de l’hygiène des soins et nous effectuons des contrôles de qualité réguliers. Une bonne hygiène réduit les risques d’infection et diminue le recours aux traitements antibiotiques.
Vous trouverez plus de détails quant à l'utilisation des antibiotiques au sein de nos établissements dans notre rapport qualité QualiCura